SimonPR1985
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  • 4,3
    Evaluation moyenne
  • 573
    Votes de note positive
  • 0
    Avis exemplaires
  • 12
    Nombre d'avis
  • 30 juin 2016
    Premier avis
  • 16 avril 2019
    Dernier avis
 
 
Avis de SimonPR1985
1 de 2
 
 Le protojet d’Anakin – Édition 20e anniversaire
Le protojet d’Anakin – Édition 20e anniversaire
Le protojet d’Anakin – Édition 20e anniversaire
 
Date :16 avril 2019
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Âge :25-34 years old
Je suis :Fan de LEGO
Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Note générale : 
5 / 5
5 / 5
J'ai vu, j'ai voulu, j'ai eu
20 ans ! Je me garderai bien de faire une comparaison entre les deux sets.
Toutefois, je peux vous dire que ce podracer est très sympathique, Très facile à monter et très pas jouable pour les enfants ! (rires)
Et oui, le pied de notre set de jeu prévoit que ce dernier à défaut de manger du kraggle (la colle dans lego movie) prenne la poussière sur une étagère ou serve de pistolet en lego ! J'exagère, en réfléchissant, en doit pouvoir trouver un moyen de retirer ce pied sans déformer le podracer.
3 figurines pour un set de ce prix, ce n'est pas trop mal.
Mention spéciale à Lego : Il n'y a pas Jar Jar Binks dans le set. Il est insupportable même en Lego. rien que pour ça, je monte la note !
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Lieu :Reims
Pays :France métropolitaine
Âge :25-34 years old
Je suis :Fan de LEGO
Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Expérience de jeu (facultatif) : 
4 / 5
4 / 5
Rapport qualité-prix (facultatif) : 
4 / 5
4 / 5
Niveau de défi
Très facile
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 Snowspeeder™ – Édition 20e anniversaire
Snowspeeder™ – Édition 20e anniversaire
Snowspeeder™ – Édition 20e anniversaire
 
Date :16 avril 2019
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Âge :25-34 years old
Je suis :Fan de LEGO
Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Note générale : 
5 / 5
5 / 5
Petit snowspeeder, petite joie intérieure :)
Il serait un peu étrange de tenter la comparaison entre le set UCS et celui-ci. Ceci dit, et tout le paradoxe est là, certains éléments sont plus détaillés dans ce set de jeu. J'en veux pour preuve le câble du harpon! Ça peut sembler ridicule, mais loin s'en faut !
Le modèle malgré sa très petite taille est très complet et très détaillé. En témoigne l'ouverture du cockpit. De plus, quatre figurines sur un set aussi petit, c'est vraiment très sympathique. Le collectionneur n'y touchera que pour les poussières, mais les enfant apprécieront la jouabilité avec les canons, le harpon et la tourelle. Un petit snowtrooper aurait été le bienvenu ! Mais allez!
Les figurines sont d'ailleurs très détaillées avec maintenant la combinaison qui descend depuis le buste jusqu'aux jambes. Super ! :)
Un joli set qui ravira les joueurs en herbe et les stockeurs compulsifs !
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Lieu :Reims
Pays :France métropolitaine
Âge :25-34 years old
Je suis :Fan de LEGO
Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Expérience de jeu (facultatif) : 
4 / 5
4 / 5
Rapport qualité-prix (facultatif) : 
4 / 5
4 / 5
Niveau de défi
Très facile
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 Porg™
Porg™
Porg™
 
Date :14 janvier 2019
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Âge :25-34 years old
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Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Note générale : 
3 / 5
3 / 5
PORG : Petit Oiseau Réinventé Graphiquement
Salut ter tous!
Qu'on se le dise d'emblée, je n'ai pas vu Star Wars 8, parce que j'ai un sérieux problème avec les films tournés sur fond vert.
Malheureusement comme les pies, attirées par les objets brillants, moi je suis attiré par les Lego Star Wars avec une plaque.
J'ai vu le porg, je n'ai pas cherché, je l'ai embarqué. La bêbête susmentionnée appartient appartient à ce qu'on pourrait presque qualifier de gamme non officielle d'UCS, tout comme le BB8. Il a donc pour finalité une vocation d'exposition plutôt que celle d'un réel set de jeu. D'où la plaque. CQFD.
Tout comme le BB8, Vous assemblerez donc un squelette complet avec son mécanisme avant de l'habiller avec les différents éléments constitutif de l'animal. Le mécanisme du Porg permet de lui faire ouvrir la bouche et écarter les ailes en appuyant... sur sa queue. Bon c'est amusant, parce qu'avec ses yeux tout ronds, il a l'air constamment surpris ! Mais une fois cela terminé, vous n'aurez pas plus de fonctionnalités. Nous parlons ici d'un modèle destiné à exposer, à l'instar des autres UCS. (Rires amusés)
On appréciera les petites pièces utilisées pour réaliser les dents et les griffes de la bestiole et également certaines pièces pour reproduire l'effet de pelage ébouriffé. Rendons à César ce qui est à César, ce n'est vraiment pas mal en terme de précision. Celle-ci est au rendez-vous malgré la taille globale réduite de l'animal. (un peu plus de 20 cm)
Difficile de s'étendre plus sur ce set sans réelle jouabilité, ni trop de fonctionnalités, mais dont l'avantage indéniable et de permettre un accès un peu plus facile à la gamme des UCS.
Inutile, donc indispensable ! :D
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Lieu :Reims
Pays :France métropolitaine
Âge :25-34 years old
Je suis :Fan de LEGO
Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Expérience de jeu (facultatif) : 
3 / 5
3 / 5
Rapport qualité-prix (facultatif) : 
3 / 5
3 / 5
Niveau de défi
Très facile
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+4points
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Date :14 janvier 2019
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Âge :25-34 years old
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Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Note générale : 
4 / 5
4 / 5
911 RSR : Revue d'une Super Racecar
Salut ter tous!
J’annonce d’emblée, si vous espérez un set équivalent, en terme de précision, à la Bugatti ou à la GT3, mais à moindre frais, il est préférable que vous redonniez un coup d’accélérateur et passiez votre chemin. Si le prix fixé est diminué de moitié par rapport aux modèles précités, cela s’explique par la disparition d’un certain nombre de composants et de détails. En effet, une division du prix implique un allègement du poids et un arrêt définitif au stand pour certains morceaux trop volumineux vu la taille plus modeste du set. Ceci dit, ne vous imaginez par la taille d'une speed champion ou d'une DB5 : Elle annonce quand même 50 cm de long cette Porsche.
Forcément, l’Élément, avec une majuscule, qui restera au garage, sur cette RSR, c’est la boite de vitesses. La taille des deux hypercars est en partie conditionnée par cette assemblage maître. Sans surprise, donc, la résultante est qu’un modèle occupant un volume même à peine plus condensé ne pourra malheureusement pas s’encombrer d’un sous-ensemble d’engrenages et de pignons. La boite entraîne de facto dans sa chute les palettes au volant. Personnellement, le retrait de ces palettes n’est pas ce qui me chagrine le plus. À mes yeux, ce n’est même carrément pas une perte : je n’ai aimé aucune des deux versions, que ce soit celle de la GT3 ou celle de la Bugatti. Les élastiques, c’est pas pratique. Toutefois, la contrepartie, c’est que même factices, un levier de vitesse, un frein à un main et des palettes auraient été les bienvenus. Après tout, on a bien vu apparaître LE détail incongru que personne n’attendait : l’essuie-glace qui ne balaye pas et trône narquois et raide comme un piquet en plein milieu du pare-brise!
Dans cet effort de réduction de la taille et du poids, vous perdrez également au passage certains éléments de finition tels que les étriers de freins, des carénages et assemblages sur le flat-six. Un fauteuil baquet se présente mais bien plus triste. Le cockpit lui-même perd en précision, malgré de bonnes idées. L’arceau gris à l’intérieur encadrant la console centrale, est très bien pensé, mais pas assez exploité. Oui, cette perte de précision est d’autant plus regrettable que nous n’étions plus à trois autocollants près. Vous comprendrez pourquoi plus loin (y en a un que ça fera marrer quand il me lira !) L’ordinateur côté passager (pas de second baquet, c’est une voiture de course !) sonne comme un recours à la facilité avec ses trois pauvres tuiles de 2*2 ornées d’autocollants (encore eux !)
Bon on enlève, on enlève, c’est bien joli d’enlever des morceaux, mais que reste-t-il finalement ? Car oui, au final, hormis la direction et le moteur et les suspensions, vous n’aurez pas tellement de fonctionnalités supplémentaires. Après, il ne faut pas non plus se montrer trop sectaire : la LMP verte et blanche ouvrait ses portes en élytre avec un système de molette, c’était peut-être un peu trop. Des charnières suffisent.
Certains détails très bien pensés jalonnent quand même ce parcours de 500 étapes, comme les bulles de cockpit utilisées pour assembler les phares à l’avant, plus esthétique que sur sa grande sœur, ou encore les crémaillères de grue pour définir le bouclier avant. L’utilisation des flexibles est également bien vue et donne une touche finale appréciable. Très sincèrement certains assemblages sont de très bons choix esthétiques. On applaudira, la custode arrière qui se soulève pour accéder au Flat 6. Élément qui fait cruellement défaut sur la Chiron qui, pourtant, comporte le double de pièces (là aussi, le choix de R&D sentait bon la facilité !) Une très belle mention à l’extracteur arrière qui est vraiment bien pensé et donne cet aspect « monstrueux » à cette voiture. J’enfonce le clou, aller jusqu’à rajouter des éléments sous le véhicule pour compléter l’extracteur, ça, ça n’existait pas encore ! Dans cette logique, il aurait vraiment été bienvenu et élégant voire carrément excellent de lui faire un fond plat à c’te charrette ! Je m’apaise, j’ai dit qu’il ne fallait pas être sectaire ! Pour les petites fioritures, Vous aurez également le loisir de bouger les rétroviseurs de haut en bas ou de jouer avec les poignées de portes, qui nouveau rappel sont simplement représentées par des stickers sur une Chiron. Ce serait d’ailleurs sympa que pour une prochaine hypercar, Lego essaye de mettre en place un système d’ouverture de porte par poignées. (C’est au cas où ils me lisent !)
L’assemblage des arceaux, pièces de châssis, et autres barres, contribuent à rigidifier l’ensemble de la structure du véhicule, la rendant, malgré un nombre de pièces plus faible que la GT3, effectivement plus rigide que celle-ci. C’est appréciable quand il faut manipuler l’engin de ne pas avoir peur de le casser. Le rendu final de cette voiture offre un beau véhicule qu’on expose surtout pour sa carrosserie et le détail de ses dessins plutôt que pour sa mécanique réelle. Après tout, au Mans, pendant la célèbre course, Porsche expose des modèles de compétition avec juste un châssis et une carrosserie, alors pourquoi ne pas faire pareil en Lego et à la maison.
Il est d’ailleurs une chose que vous pourrez faire à l’instar du personnel technique de cette grande écurie de course automobile qu’est Porsche : coller des stickers ! Nous serions aux États-Unis, le 911 prendrait tout son sens ! 52 autocollants ! Au secours ! La décompensation, autrement appelée « pétage de plombs » est complète ! Chacun sa marotte, la mienne c’est tacler mon fabricant préféré sur les autocollants ! Je remets un peu de carburant dans la machine à sarcasme pour un nouveau petit tour de piste. Avec 52 autocollants, vous pouvez en coller un par semaine si ça vous tente. Malheureusement pour le mois de décembre, ça ne vous donnera pas de calendrier de l’avent ! Mais bon avant que mon humour ne fasse partir cette critique en tête à queue : ne cédez pas à la tentation de ne pas les coller, le rendu serait triste vu la quantité ! Ces autocollants tout aussi horripilant qu’ils puissent être contribuent à la fidélité du modèle. Une fois encore ne soyons pas sectaire. Ces autocollants ne font pas 2m² de surface et un peu de patience n’a jamais tué personne.
Je range mon fusil et pour une fois porte un œil conciliant sur la question des autocollants pourtant en surnombre caractérisé. Le véritable regret que j’ai à l’égard de ceux-ci, sera le très léger décalage de tons entre leur blanc et celui des pièces. Mais bon, tout le monde ne regarde pas ses Lego avec une frontale sur la tête. Là encore ne soyons pas réducteurs.
D’ailleurs en parlant d’affichage, d’esthétique et autres éléments graphiques, une petite histoire de la 911 RSR dans la notice de montage aurait la bienvenue, même si ce n’est pas ce qui intéresse le plus les monteurs !
Ultime point, ne faisant pas réellement partie de la construction : n’étant pas un habitué des Technic, je ne connais pas trop la politique de Lego sur le sujet, mais en tout cas, pour ce modèle de Technic très précisément, les sachets n’étaient pas numérotés ! Résultat : plusieurs boites pour ouvrir tous les sacs en même temps. Je n’avais pas goûté à cette méthode de puis mon adolescence ! J’avais également oublié à quel point c’était casse-pied.
Finalement, malgré certains points qui sonneraient comme autant d’arguments décourageants pour ses potentiels acquéreurs, cette 911 RSR affiche des qualités dont elle n’a vraiment pas à rougir. À commencer par ses dimensions, approximativement 50*18*13. De très belles dimensions qui la rendent juste un peu plus petite que ses fières devancières, beaucoup plus onéreuses. Cette RSR représente un excellent choix pour qui aime la Porsche et ne souhaite pas investir d’avantage dans l’achat d’une GT3, ou habite à un endroit où elle n’est d’ores et déjà plus disponible. Elle est également un choix graphique intelligent pour qui souhaite plus un set d’exposition qu’un réel défi de montage. Effectivement une fois finie, c’est une très belle pièce qui trouvera sans problème sa place dans une collection de véhicules de course de notre fabricant préféré.
Pour les moins passionnés de lecture :
Les points positifs :
Graphismes très précis des autollants
Suspension, custode, flat six
Dimensions très appréciables considérant le prix
Les points un peu moins positifs :
Autocollants en surnombre
Détail du cockpit trop minimaliste
Absence de boite de vitesse
Honnêtement, allez-y, elle le vaut.
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Lieu :Reims
Pays :France métropolitaine
Âge :25-34 years old
Je suis :Fan de LEGO
Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Expérience de jeu (facultatif) : 
4 / 5
4 / 5
Rapport qualité-prix (facultatif) : 
4 / 5
4 / 5
Niveau de défi
Moyen
Moyen
Très facile
Très difficile
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Date :7 décembre 2018
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Âge :25-34 years old
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Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Note générale : 
4 / 5
4 / 5
Double decker double pleasure.
Aujourd'hui exercice différent avec pourtant autant de plaisir : je vais réaliser la critique d'un set que je n'ai pas touché mais dont le montage a été intégralement réalisé sous mes yeux. Quand on offre un cadeau, on ne le monte pas à la place du destinataire! Je prendrai donc les mains et le ressenti d'une personne très nouvelle dans le montage de Lego "volumineux" et l'œil du monteur agguéri resté en spectateur ! Foin du verbiage, rentrons dans le vif du sujet.
Pour un débutant un monochrome intégral tel que le double decker est défi assez ambitieux. Pas insurmontable, mais il garantit quelques passage de montage, puis de démontage, puis de remontage ! Le propre du spectateur est de ne pas dire au monteur qu'il se trompe ! Toujours faire attention à bien mesurer les pièces qu'on prend !
Ce joli bus obéit à la règle générale des voitures modèles réduits : un châssis droit qui servira de plateforme à l'assemblage du modèle. Une fois ce châssis construit, vous poserez donc un ensemble de plaques dessus qui vous serviront à monter les différents parties du transporteur. Comme vous pouvez très certainement vous en douter, vous monterez les étages successivement. Après tout, ce serait particulier de commencer par la fin. Rien de très particulier dans le montage des étages. Vous superposerez les pièces comme une imprimante 3D superpose les couches pour arriver au modèle final. Seuls quelques passages solliciteront un temps plus particulier, mais globalement, le bus se monte comme une pyramide : de bas en haut !
En parlant de passages particuliers : l'arrondi de l'arrière du bus est une petite merveille de réflexion à la Lego. Encore des briques dédiées à un modèles ? Of course not, my good Sir. Les briques avec un stud latéral sont là pour ça et finalement le tout tient correctement et c'est très est ésthétique !
La répétition fixant la notion, vous monterez près d'une trentaine de sièges doubles, on parle d'un bus après tout, qui seront présents sur les deux étages et sur lesquels vous aurez parfois à utiliser la Némésis des monteurs de Lego et dont je parlerai plus loin.
Côté détail, ce bus a double étage se présente comme un oxymore. Ce set est à la fois très détaillé et trop peu. Vous allez comprendre. On parle du très esthétique bus impérial et sa vue d'ensemble offre une belle vision globale du modèle original, depuis les feu stop, jusqu'aux phares avant. Pourtant, peu de petits détails des incivilités britanniques n'apparaissent à l'intérieur. Tout juste deux pauvres petites tâches sur deux fauteuils et une canette compressée. C'est un peu triste, mais c'est comme ça !
Par exemple notre car a un compartiment moteur que l'on peut ouvrir mais rien qui pas de direction (je pense que c'était possible d'en mettre une). Parlons de la cabine chauffeur qui ne dispose malheureusement pas de porte d'entrée mais d'une fenêtre coulissante. Pas de compteur de vitesse et pourtant, on ne serait plus à deux trois autocollants près. Parce qu'effectivement l'ensemble du détail de ce set repose sur la trentaine d'autocollants qui le jalonnent et assurent à ce bus sa véritable identité. Près d'une trentaine ? Yes, my good Sir. Et ce fut là mon unique intervention dans le montage. Coller des autocollants à la pince à épiler. Il serait regrettable que l'autocollant de la rue des briques soit lui-même droit comme la rue de Saint Gilles (régionalisme. Ça veut dire tout de travers). Ces stickers sont agaçants et pourtant ils garantissent que, comme mentionné quelques lignes plus haut ce bus anglais soit THE bus anglais. On appréciera donc les petits jeux de mots et détournements de noms connus au profit de la marque Lego. Entre bricksquare, l'oreos en lego etc, ça mérite bien un peu de patience, même si on préférerait les sérigraphies. Pourtant, je plaide en sa faveur et ne le comparerai pas au Combi ni à la Mini car ça ne serait pas constructif, ce n'est pas la même échelle !
Au final, quelques combinaisons de d'autocollants et de briques traditionnelles sans utilisation d'éléments fantaisistes aboutissent à un cocktail très agréable que représente ce bus anglais, sans défaut majeur, il présente des qualités sympathiques qui en font un agréable modèle d'exposition. Il ravira les collectionneurs et sera une belle étape pour ceux qui veulent entrer dans l'univers créator.
Un bel achat donc. Let's go chers amis !
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Lieu :Reims
Pays :France métropolitaine
Âge :25-34 years old
Je suis :Fan de LEGO
Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Expérience de jeu (facultatif) : 
4 / 5
4 / 5
Rapport qualité-prix (facultatif) : 
4 / 5
4 / 5
Niveau de défi
Facile
Facile
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 Y-Wing Starfighter™
Y-Wing Starfighter™
Y-Wing Starfighter™
 
Date :1 décembre 2018
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Âge :25-34 years old
Je suis :Fan de LEGO
Expérience de construction:Constructeur LEGO expert
Note générale : 
5 / 5
5 / 5
Stay on target !
UCS Y-Wing
Stay on target ! (Bon en fait, c'est du pilote de Gold 5 "Pops"). Nouvel UCS, nouvelle pièce à ma collection, bien évidement ! J'ajouterai donc ma petite pierre à l'édifice des critiques déjà biens fournies de mes chers pairs amateurs de constructions dantesques, que je salue amicalement. Mais qu'importe, un avis positif de plus pourra certainement décider les plus hésitants !
Vous avez ici un UCS à grande vitesse, puisqu'il vous faudra compter à peine 4h-4h30 pour le monter.
Packaging !
Les nouvelles boites UCS ont quand même de la classe. Comptez également une boite supplémentaire à l'intérieur sérigraphiée avec le Y-Wing. C'est assez sympa. Attention, collectionneurs monomaniaques, le scellé est difficile à ouvrir sans abimer la boite !
Sur la notice de montage, vous pourrez lire les interviews des principaux concepteurs du set. Ce n'est pas la première fois que ce genre de supplément est présent, loin de là, mais c'est toujours plaisant à lire. En plus vous pouvez travailler votre anglais, pas de favoritisme pour les français ! Vous avez également dans cette même notice une petit histoire rapide du vaisseau dans le canon de la saga, avec des photos de la construction des modèles originaux ayant servis au film de 1977. Très appréciable !
Tir rapide !
Je note immédiatement le petit effort de notre constructeur favori pour ce set, un effort qui va dans le sens du monteur et qui fait plaisir à souligner : il n'y a pas trop d'autocollants, juste une petite dizaine. C'est encore trop à mon goût, certes, mais comparé à la vingtaine du T47 ou du Slave 1, cela reste moitié moins ! Nouvelle critique, nouvelle torpille à proton sur les autocollants, on évolue, mais on ne se refait pas non plus intégralement !
Le montage !
Passons à la difficulté de montage. Nous avons un set ici sans grande difficulté, d'où la durée d'assemblage relativement courte. Quelques briques colorées jalônent le parcours et placent quelques indices visuels pour les moins habitués à se repérer dans l'espace. Compte-tenu de la quantité de petites pièces, il faut parfois bien observer le sens de placement des petites pinces qui participent au détail global du vaisseau. Ne soyons pas sectaire, une inversion ne nuira pas à la fidélité globale du vaisseau et ne gênera jamais la suite du montage! En somme et en soi rien de bien méchant donc. Pour la difficulté et les cheveux blancs, allez voir les lego technic et la Chiron ! Sans surprise, lorsqu'on arrive sur les réacteurs du vaisseaux, la symétrie s'installe et forcément, pour le peu qu'on ait un plan de travail assez large, il est possible de monter les deux réacteurs côte à côte et par conséquent réduire encore un peu le temps de montage.
Détail... du cockpit... au réacteur !
Le visuel est très sympathique et se rapproche vraiment des maquettes du film, même si, techniquement et comme mentionné dans les interviews, le set est un mélange de tous les Y-Wing du 4ème film. (FUUUUSION ! YAHAAH!)
L'extérieur du cockpit est bien assemblé et donne un rendu agréable, pas de briques inversées, mais appentis normaux, renversé grâce aux briques à studs latéraux. Si, si, ça veut dire quelque chose ! Vous verrez dans les photos !
L'intérieur du cockpit, malheureusement, fait un peu contraste avec la vue générale du vaisseau, si on considère son faible niveau de détail. On pourra faussement prétexter que les chasseurs de l'escadron Gold étaient moins vus de l'intérieur que ceux de l'escadron Red dans le film, ce qui n'est pas complètement vrai (de mémoire, on voit l'intérieur de Gold 2 et Gold 5). En tout cas, c'est un peu déconcertant, si on considère les efforts déployés pour obtenir la reproduction la plus fidèle possible.
La jonction avec le corps complète un petit mécanisme qu vous permet de faire bouger le canon du toit. C'est le petit "gimmick" sans lequel un UCS, n'est pas vraiment un UCS ! Le corps du vaisseau lui-même est a contrario du cockpit relativement bien détaillé et l'utilisation de pléthore de petits éléments reproduit de manière intéressante les modèles originaux. On peut bien évidemment toujours faire plus, mais le rendu est déjà très appréciable.
Les réacteurs, sont eux également comparables à ce que propose les modèles originaux. Jusque dans les petites grilles de ventilation en haut des réacteurs. Pas mal du tout!
Par en dessous. Allez courage, lego. Encore quelques efforts et vous détaillerez de manière impeccable le dessous des vaisseaux. Un train d'atterrissage n'est pas encore suffisant, même si cela dénote une envie d'aller dans ce sens.
Côté figurine, nous avons là deux exemplaires qui gagnent encore en détail et en précision. L'astromech est vraiment très bien réussi et j'avoue que ça nous change un peu de notre ami R2, qui n'aurait rien à faire à bord d'un Gold !
Conclusion !
Même si on comptera encore quelques raccourcis sur certains éléments qui sont pourtant très attendus, au final, cet UCS correspond à ce que Lego fait de mieux quand il reproduit les modèles emblématiques de la première trilogie : "stay on target". Et leur cible, c'est la fidélité au modèle original. Ce grand travail de fidélité vis-à-vis du modèle original a de nouveau été déployé et atteint sa cible : le coeur du collectionneur. Un UCS, reste toujours un très beau cadeau pour qui souhaite combiner deux passions, Star Wars et Lego.
Puis je ne suis pas objectif, le Y Wing est et reste mon vaisseau préféré dans l'histoire de Star Wars. Il est juste sublime !
(Et merci encore à ma chère et tendre et mes amis!)
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 Slave I™
Slave I™
Slave I™
 
Date :11 septembre 2018
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Âge :25-34 years old
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4 / 5
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Petit, je l'appelais : "le fer à repasser"
Bien que ce set soit "ancien" et, je pense, bientôt retiré de la vente, je vais néanmoins réaliser sa revue. Un UCS, ça mérite son commentaire. (Puis très orgueilleusement, ça me permet de me perfectionner dans mes critiques!)
Le Slave 1 fait partie de ces vaisseaux emblématiques de l'univers de Star Wars, au même titre que Red 5, l'Imperial Class Star Destroyer et bien entendu le Faucon Millenium. Poutant. L'avoir en ma possession n'était pourtant pas tellement ma priorité. Mais au final, presque quatre ans après sa sortie, quelques déductions d'impôts et un millier de points de fidélité plus tard, j'ai craqué. Let's go.
Slave 1 est de loin l'UCS le plus facile que j'ai construit à ce jour. Et c'est loin d'être une déclaration péremptoire ! Pour comparaison (certains y verront peut-être une forme de vantardise et je leur présente mes excuses à l'avance), j'ai assemblé à ce jour pas loin d'une dizaine d'UCS, en ne parlant uniquement que de Lego Star Wars, et il en est vraiment ressorti que ce vaisseau est très facile à construire. Pas de piège et beaucoup de symétrie dans l'assemblage sont un cocktail qui permet de monter ce set tranquillement devant quelques films sans risquer de se tromper. Si vous êtes branchés record de vitesse d'assemblage, comme je le suis d'habitude, c'est un autre problème. Sinon, si comme moi, sur des critères très subjectifs vous estimez être un monteur expérimenté, vous pouvez tirer sur la corde de la lenteur et monter le tout en 5h30 en prenant vraiment votre temps sur les distractions que peuvent offrir votre environnement! Plus ce serait de la mauvaise volonté ! Sinon à pleine turbine, comptez 4h-4h30 environ.
Côté fonctionnalités, c'est un UCS, donc pas de surprise, le set tient plus de la maquette à exposer que du réel set de jeu. Toutefois, 4 personnages + 1 solo congelé, ce n'est pas mal. En comparaison, les UCS de ces deux dernières années, n'offrent que deux personnages maximum. Côté utilisation, on pourrait objecter que la verrière ne s'ouvre pas, mais dans le film, l'accès se fait par la soute arrière (par où entre Han Solo congelé). Donc, objection rejetée ! Néanmoins, le montage ici n'offre pas de visibilité sur cette fameuse soute car Han Solo calé dans la trappe occupe toute la place avec le reste de l'armature du vaisseau. Par ailleurs puisqu'on parle de l'armature interne du vaisseau, je trouve dommage qu'il n'y ait pas plus de points d'encrage pour les éléments de la coque et surtout vers le bas de ces derniers (vers l'arrière dans le plan sagittal).
Côté fioritures : Les canons laser dissimulés dans la coque du vaisseau, malgré leur apparence sympathique, sont assez fragiles et délicat à déployer, et si l'on se montre trop brusque, Slave 1 risque rapidement de se transformer en Slave 1/2. Cela est dû au faible nombre d'encrage des parois latérales du vaisseau dont je parlais quelques lignes plus haut. Bon, je tempère mon propos, ça ne risque pas de tomber dès qu'on l'effleure. Évitez juste d'être trop enthousiastes !
Côté fragilité, les ailerons latéraux peuvent donner quelques sueurs froides et susciter des interrogations quant à leur solidité au montage. Ça tient, mais je suis quand même circonspect ! Sinon le reste de du vaisseau, de face est très beau et fidèle !
Enfin, en retirant la verrière pour accéder au cockpit, je me répète, ça n'a rien de choquant, vous pouvez basculer la position du siège de pilotage de Boba Fett dans l'axe sagittal du vaisseau et ça, j'avoue, c'est vraiment sympathique. C'est ce genre de petit détail qui fait la différence entre un set "ok" et un set vraiment "sympa"!
Le défaut majeur du set, il fallait bien y arriver, reste l'arrière du vaisseau dans le plan sagittal, encore (il nous embête avec son plan sagittal) (partie tuyères et propulseurs). Il y a un manque de finition réel et les vides n'étant pas comblés, il faut espérer que Boba Fett ait une bonne combinaison spatiale, parce qu'il risque d'avoir sérieusement froid aux fesses : on peut voir l'intérieur du vaisseau par l'arrière. Alors, oui, une fois qu'il accroché sur son support, au demeurant bien pensé, ça ne se voit pas. Mais bon, pour un UCS, ce raccourci de pensée peut faire désordre. C'est le seul défaut que je trouve à la limite du pénalisant pour un set de ce prix.
Pour le reste, je ne m'attarde pas plus sur les autocollants toujours en surnombre (une vingtaine). Si vous avez lu mes critiques sur d'autres modèles, vous connaissez mon point de vue. Comme aurait dit Jean-Pierre Koffe, pour les plus vieux d'entre vous... C'est de la...
Au final, Slave 1 est un set fidèle à son modèle issu du film. Il serait mesquin de critiquer ce niveau de fidélité, car il est à ce jour de la reproduction la plus proche de l'orignal depuis l'établissement du partenariat entre la licence et notre fabricant préféré et il a de bonne chance de le rester encore quelques années.
Bon montage à vous !
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Date :11 juillet 2018
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Deux bleus aux yeux
Bonjour à tous !
Alors, non, cette critique de la Bugatti Chiron ne fera pas l'apologie de la violence ! Je parle des deux bleus qui constituent sa carrosserie !
Ceci dit, je dois admettre qu'elle est assez violente à monter, alors allons-y, c'est le moment de ma "petite" review comme j'aime tant le faire avec les Lego dont je fais l'acquisition, notamment sur les Star Wars.
Concernant la Chiron, c'est à ce jour le Lego le plus complexe que j'ai monté. Il dépasse la Porsche. Il n'est pas insurmontable, mais le défi reste de taille car c'est un voyage de près de 1000 étapes numérotées qui vous attend, soit entre 10 et 12 heures de montage sous une lumière artificielle. Un conseil, montez-la à la lumière du jour !
Passons au dit montage :
Comme sur de nombreux modèles et depuis maintenant plusieurs années, Lego ne laisse plus personne sur le bord de la route sinueuse que peuvent représenter les plans de montage. Vous rencontrerez de nombreuses pièces colorées, éléments indispensables pour vous repérer dans le montage.
Je répète le conseil que tout enseignant digne de ce nom donne à chacun de ses élèves : lisez toujours la consigne avant de faire l'exercice. Ce conseil en apparence banale prendra vite son sens lorsque vous aurez passé l'étape dite du "mariage", appelée ainsi dans les instructions de montage. Cette étape fusionne les deux parties du châssis et du moteur du véhicule en une. À partir de ce moment, ça commencera à devenir plus dur à lire qu'un plan Ikea au vu de la taille de l'engin.
Concernant le montage global, ça peut sembler très bête à dire, mais je vous enjoins sincèrement au cours de certaines étapes à respecter le sens de pose des "pitchs" d'assemblages. (vous savez, les noirs, bleus, rouges, avec une partie en croix, etc.). Parole d'une personne sortant du voyage, j'ai parfois sué à grosses gouttes parce que ça ne rentrait pas du fait du non alignement des petites fentes sur les pièces. C'est à la limite du ridicule, mais extrêmement sincère !
Côté "Technic" pur et dur, rien de douloureux hormis les pignons de la boite de vitesse. Attention à bien respecter le plan, sinon, ça coince. Ma critique sur la conception ira justement vers la boite de vitesse et les palettes au volant. Le système a complètement changé depuis la Porsche mais n'est pas pour autant optimisé. Nous faisons encore une fois face à un système à élastiques et un bloc peu stable qu'on craint de casser dès qu'on y touche. Quitte à rajouter une dizaine euros de plus (on n'est plus à ça près), n'aurait-il pas été plus judicieux de coupler ces élastiques à l'excellent "Flex System" qui était présent sur certains modèles du début des années 1990 ? Je trouve cela dommage.
La construction du set ayant voulu respecter la construction de son modèle 1:1, certaines étapes sont relativement casse-pieds (euphémisme). Je cite pour ceux qui l'ont montée à titre d'exemple les arceaux extérieurs au niveau de la jonction avec encore une fois ce problème des pièces de jonctions, les petits "pitchs". Oui, je le répète, certains passages d'assemblage font vraiment grincer des dents. Car encore une fois, les Lego c'est taille unique. La patience sera de rigueur pour ceux qui ont de grandes mains avec de gros doigts. Certaines étapes apparemment anodines relèveront de la punition et passer cinq minutes et vingt essais, littéralement, pour poser un sous-ensemble de dix pièces ou moins, ça se produit plus d'une fois.
L'optimisation de certaines formes esthétiques est très sympathique. Les étriers de freins ont fait des progrès très appréciables, la petite valise à construire avec le modèle également. Des petits détails supplémentaires très sympathiques comme l'aileron repliable sont présents. D'ailleurs l'aileron possède un mécanisme de déploiement un peu "surfait" mais amusant quand même! D'où la grosse interrogation que vous pourriez avoir sur le plan de montage au moment de la pose ! Je n'en dis pas plus ! ;)
J'irai à l'encontre d'une critique que j'avais lue avant l'acquisition du set où l'auteur se plaignait qu'on ne voit peut voire pas le W16. Certes, je concède qu'on ne le voit pas intégralement. Il est pourtant déjà moins dissimulé que dans la Porsche. Mais j'argumenterai en faveur de Lego sur ce point. Leur but reste d'être fidèle au modèle original, d'où le fait que le moulin soit en grande partie dissimulé sous des carénages. Et encore, ne soyons pas chiche, on en voit une grosse partie.
En revanche certaines choses ne changent pas et le perfectionnisme affiché et revendiqué s'efface devant les contraintes budgétaires de R&D et de production. Le volant aurait mérité d'être réalisé exprès pour Bugatti. Après tout le plan de montage débute avec une revendication claire : " si c'est comparable, alors ce n'est pas Bugatti". Mais ce n'est qu'un détail parmi d'autres.
Et là nous arrivons au point de comparaison qui me rend très circonspect sur tous les "gros" Lego que je monte. Sur ces modèles produits en quantité plus restreinte, (UCS etc.) Lego ne s'encombre pratiquement pas avec les sérigraphies à de rares exceptions près. Et c'est fort regrettable. Les autocollants nuisent vraiment au plaisir de montage. Le paradoxe réside dans le fait que les écussons sur les roues sont sérigraphiés mais pas celui du volant, pareil pour le numéro de série unique qui lui est gravé. C'est vraiment regrettable de devoir se servir d'une pince à épiler.
En conclusion : malgré la revendication affichée de réaliser un set incomparable, cette Bugatti Chiron reste un set avec ses qualités et ses défauts. Beaucoup d'heures ont été investies de la part de notre fabricant préféré pour arriver un résultat; soyons honnête, très nettement au dessus de la moyenne, mais pas parfait comme revendiqué. Allez, ne soyons pas mesquins, on ne va pas non plus exiger du cuir sur les sièges !
Bon montage à vous, elle le vaut bien !
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 La chambre de congélation carbonique
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Date :4 juillet 2018
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Sympathiques ces scènes star wars, mais...
Alors,
C'est ancien produit, mais on le trouve encore un peu partout, donc j'y vais de ma petite revue.
les reproductions de scènes mythiques de Star Wars sont sommes toutes relativement sympathiques et faciles à monter.
Voyons celle-ci... le petit mécanisme pour faire pivoter le socle où se situe Han Solo est similaire à celui de la transformation de Darth Vader, ce qui donne un petit trait sympathique. Un coup il est pas encore congelé, un coup il l'est. C'est pas mal. Un ou deux socles mobiles pour faire une reproduction de la scène, ce n'est pas mal non plus. Mais bon dans ma mémoire, la plateforme de congélation était intégralement circulaire. Premier défaut.
Côté figurines, c'est bien fait aussi, Han Solo, un machin, technicien de congélation (je ne sais plus leur nom) de Bespin, et Boba Fett... Elles sont bien faites et fidèles aux personnages originaux. Bon, il aura été retenu chez les fans de Star Wars une des photos les plus impressionnantes de la saga : Le masque de Vader illuminé avec les reflets multicolores de la chambre. Bref, ça aurait peut être sympa d'agrémenter le tout avec notre bon vieux seigneur Sith, un storm et bien sur Leia.
Mais bon, ce n'est pas le cas. Et c'est là malheureusement le défaut majeur de ce set, le rapport quantité-prix. 30€. C'est relativement cher compte-tenu de la fidélité de la scène par rapport à l'original.
Pour mémoire, même si je sais qu'il faut comparer intelligemment, c'est à dire comparer ce qui est comparable, il y a 20 ans pour 30€-200Fr vous aviez le tracteur forestier 8443 en lego technic.
Un set à acheter si vous êtes complétiste... ou sujet aux achats compulsifs de Lego, comme moi!
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 Snowspeeder™
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Date :30 janvier 2018
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Le T47 est de retour !
Chers amis constructeurs de Lego, quand j'ai déballé le set, une seule phrase m'est venue à l'esprit :
"Vous revoilà, mes vieux ennemis ! Les AUTOCOLLANTS ! " J'espère que vous aimez ces vilaines bébêtes, parce que vous allez en voir jusqu'à loucher !
Allez passons aux choses sérieuses. Le T-47 n'est peut-être pas mon vaisseau préféré dans Star Wars, mais comme bon nombre d'UCS, je l'ai considéré comme un must have!
Que dire, que dire, si je le compare à la première version (qu'une personne que je connais bien possède), en terme de dimensions, je dirai que c'est l'équivalent de son aîné.
Côté fidélité, c'est franchement pas mal. Cette nouvelle version, a révisé les instruction de montage et la création de nouvelles pièces au fil de la décennie qui sépare ce modèle de son frangin a permis d'augmenter le degré de précision.
Certains passages de constructions sont sympas, notamment le gros extracteur arrière, qui pour le coup lui reste en grande partie construit avec des pièces version oldschool. Un bon nombre de parties de ce set franchement sympa sont construites avec des éléments existants depuis plusieurs années. Pas de pièce retorse sortie tout droit des cerveaux des ingénieurs de Lego, à l'exception de la verrière. Des tout petits détails supplémentaires comme des extracteurs (des patins à glace Lego). Franchement c'est un beau montage. Les évents des moteurs sont tout simplement géniaux !
Mais voilà, le point noir que j'ai cité dès le début. Les autocollants. Ah Seigneur des Lego, assembleur en briques tout puissant, pourquoi diable des autocollants !!!!! Inutile de vous dire que comme à l'accoutumée, pas de rechange, vous vous loupez, c'est tant pis, c'est foiré. Comme dirait Yoda : " il n'y a pas d'essai. Fais-le ou ne le fais pas. "
Et croyez moi, si vous avez des mains de rugbyman, des paluches d'ours, enfin, si vous avez des mains comme les miennes, coller ces maudits autocollants, ça devient du travail d'horloger suisse. Et croyez-moi, vous ne voudriez pas que les autocollants soient mal collés sur la verrière. Et encore, s'il n'y avait qu'elle !
Bon allez, franchement, vu la qualité du set et des petits détails, tels que le harpon qui tourne, le train d'atterrissage, qui fait pour le coup cruellement défaut sur le X-Wing, tout ça, ça donne un beau set d'une excellent facture. Dans mes standards, il mérite un très honnête 16/20! Pour la difficulté de montage, ça reste accessible, ne vous en faites pas. UCS ne veut pas dire impossible à construire ;)
Autocollants. Peux plus... Autocollants... HAAAA !
et en prime une p'tite photo du T-47
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